La pauvreté implique une privation économique, mais aussi une privation de santé, de logement, d’éducation.…
Les « héros » du social craignent surtout l’avenir
Les travailleurs sociaux et les bénévoles qui sont restés sur le terrain pendant l’épidémie ont dû lutter contre le stress, la peur, la fatigue. La grande majorité a résisté au virus comme à l’épuisement professionnel. Les digues personnelles ont tenu. Pour le moment, car ce sont le déconfinement et la crise sociale à venir qui pourraient donner le coup de grâce. A lire ici.