On le sait : les trajectoires de vie des personnes sans-papiers sont parcourues de violence. Violence à l’encontre de celles et ceux qui vivent ici depuis 5, 10, parfois 20 ans, à qui l’État refuse l’accès aux droits les plus élémentaires. Violence de l’exploitation dans de nombreux secteurs de l’économie. Violence de l’angoisse des lendemains sans aucune perspective. Violence des discours fallacieux et stigmatisants à leur égard, les présentant comme des délinquant·e·s, voire comme des maîtres chanteurs. Violence à l’égard des enfants nés ici mais privés de tout droit…
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L’AMA est signataire de la carte blanche
Source : CNCD